Au nord, un peu plus au nord
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Re: Au nord, un peu plus au nord
Franchement tu exagères de nous faire voir ces beaux paysages alors que nous sommes plantés dans nos canapés en attendant d´aller les voir en direct. Et l´attente est longue.... merci
il vaut mieux se taire et passer pour un con que de parler et ne laisser aucun doute à ce sujet
Pierre Desproge
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Re: Au nord, un peu plus au nord
Encore 9 mois et c’est notre tour …
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Que du bonheur avec ma Multi et les Multifadas !!!!
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scharrach
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Re: Au nord, un peu plus au nord
Une gestation quoiSMILYTY a écrit :Encore 9 mois et c’est notre tour …
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Merci pour cette nouvelle « dose » de dépaysement. Je suis vos aventures avec plaisir et en me disant « qu’en vrai » ça doit faire partie des RT « Mythiques ! ». A chaque nouvel opus une nouvelle claque visuelle
Re: Au nord, un peu plus au nord
Encore un superbe « épisode » avec cette particularité d’avoir emprunté un des « spots » de tournage du dernier James Bond ( « Mourir peut attendre » NDLR )….
Merci pour cette nouvelle « dose » de dépaysement. Je suis vos aventures avec plaisir et en me disant « qu’en vrai » ça doit faire partie des RT « Mythiques ! ». A chaque nouvel opus une nouvelle claque visuelle
Sic Parvis Magna.... Les grandes choses ont de petits commencements.
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Au nord, un peu plus au nord
En ce 16ème jour, de seuls au monde à l’avenue des Champs Elysées un 24 décembre nous passerons en quelques dizaines de minutes. Du rêve au cauchemar nous passons. C’est assez déstabilisant. D’un grand soleil nous partirons bien secs à bien trempés sous la pluie nous arriverons. Dans une cabane nous dormirons, de beaux paysages nous rêverons…pendant que nos vêtements sécherons.
Alors aujourd’hui nous avons rendez vous avec un des fjords les plus célèbres donc le plus touristique: le Geiranger. Nous arrivons par les hauteurs du fjord et apercevons un parking où par réflexe nous nous garons en nous frayant un passage entre les boites à roues pour qui se poser est plus compliqué. Et pourtant nous avons de la chance, nous le saurons au moment de quitter les lieux. Drone en main, téléphones en poche, nous partons nous installer sur la plate-forme d’où nous pourrons observer le fameux. Nous nous trouvons alors face à une incohérence touristique, deux paquebots ont mouillé l’ancre dans ce lieu magique.
Le drone décolle, je me dépêche de faire quelques videos et photos.
Nous profitons ensuite de la vue et décidons de poursuivre notre route. Nous nous retournons de la rambarde et dans une vision d’horreur voyons foncer sur nous une barrière humaine armée de smartphones. Leur temps sur place est compté. Les zombies nous encerclent maintenant et ont pour mission de saturer la mémoire de leurs appareils! A aucun moment ils ne quittent leurs écrans des yeux. Nous fuyons et retournons au parking où deux bus sont garés sur la route créant assez rapidement un bouchon. La descente jusqu’au fond du fjord puis la remontée se feront dans les bouchons comme sur l’autoroute du soleil en plein chassé croisé. Une horreur. Les paquebots vomissant leurs passagers, des boutiques de souvenirs à gogo bref, ne passez pas par là, d’autres fjords plus sauvages et plus magnifiques s’offrirons à vous.
Un peu plus loin, une heure et demie, nous décidons de nous arrêter pour casser la croute. Un grand parking quasi vide nous accueil et comme pour se racheter, la Norvège nous offre une surprise: ce magnifique village en contrebas. Quelle vue! Quel décalage avec l’agression subie au Geiranger.
Nous reprendrons la route et finirons la journée sous la pluie, encore et encore.
Par compassion, un hytter nous accueillera dans un petit camping où encore une fois seules les clés à l’extérieur nous donnerons l’autorisation de nous y installer.
Merci à son auvent de nous avoir permis de poser sacs et tenues afin de ne pas trop salir par terre. Nous nous consolerons avec un bon chocolat chaud.
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Alors aujourd’hui nous avons rendez vous avec un des fjords les plus célèbres donc le plus touristique: le Geiranger. Nous arrivons par les hauteurs du fjord et apercevons un parking où par réflexe nous nous garons en nous frayant un passage entre les boites à roues pour qui se poser est plus compliqué. Et pourtant nous avons de la chance, nous le saurons au moment de quitter les lieux. Drone en main, téléphones en poche, nous partons nous installer sur la plate-forme d’où nous pourrons observer le fameux. Nous nous trouvons alors face à une incohérence touristique, deux paquebots ont mouillé l’ancre dans ce lieu magique.
Le drone décolle, je me dépêche de faire quelques videos et photos.
Nous profitons ensuite de la vue et décidons de poursuivre notre route. Nous nous retournons de la rambarde et dans une vision d’horreur voyons foncer sur nous une barrière humaine armée de smartphones. Leur temps sur place est compté. Les zombies nous encerclent maintenant et ont pour mission de saturer la mémoire de leurs appareils! A aucun moment ils ne quittent leurs écrans des yeux. Nous fuyons et retournons au parking où deux bus sont garés sur la route créant assez rapidement un bouchon. La descente jusqu’au fond du fjord puis la remontée se feront dans les bouchons comme sur l’autoroute du soleil en plein chassé croisé. Une horreur. Les paquebots vomissant leurs passagers, des boutiques de souvenirs à gogo bref, ne passez pas par là, d’autres fjords plus sauvages et plus magnifiques s’offrirons à vous.
Un peu plus loin, une heure et demie, nous décidons de nous arrêter pour casser la croute. Un grand parking quasi vide nous accueil et comme pour se racheter, la Norvège nous offre une surprise: ce magnifique village en contrebas. Quelle vue! Quel décalage avec l’agression subie au Geiranger.
Nous reprendrons la route et finirons la journée sous la pluie, encore et encore.
Par compassion, un hytter nous accueillera dans un petit camping où encore une fois seules les clés à l’extérieur nous donnerons l’autorisation de nous y installer.
Merci à son auvent de nous avoir permis de poser sacs et tenues afin de ne pas trop salir par terre. Nous nous consolerons avec un bon chocolat chaud.
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Parce que!
Il ne faut pas m'en demander plus et pleurer après.
Nous avons vécu la même histoire et compatissons. L'attente fut interminable et les trois semaines sont passées aussi vite qu'une trainée de poudre en feu.
Au nord, un peu plus au nord
Mais pourquoi est il aussi méchant??diplomate83 a écrit : ↑03 août 2023 21:33Franchement tu exagères de nous faire voir ces beaux paysages alors que nous sommes plantés dans nos canapés en attendant d´aller les voir en direct. Et l´attente est longue.... merci
Parce que!
Il ne faut pas m'en demander plus et pleurer après.
Nous avons vécu la même histoire et compatissons. L'attente fut interminable et les trois semaines sont passées aussi vite qu'une trainée de poudre en feu.
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Re: Au nord, un peu plus au nord
à te lire et à voir tes photos j'ai plein de waouuuu qui sortent de ma bouche. C'est terrible de beauté sauvage. 
il vaut mieux se taire et passer pour un con que de parler et ne laisser aucun doute à ce sujet
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Au nord, un peu plus au nord
Au programme aujourd’hui,17ème journée: un point de vue magnifique, une église, de l’eau, des virolos à gogo, de l’eau, de l’eau, de l’eau, des tunnels et enfin un camp près de l’eau.
Réveil 6h30, mais ça vous le savez déjà, p’tit dej copieux, ménage, chargement des montures et top départ pour cette nouvelle journée. Très rapidement, nous nous trouvons, seuls, dans une vallée magnifique, des rapides à notre droite, des lacs, de la brume.
Bref, cocktail idéal pour des fractures de rétines. Nous passerons pas mal de temps dans cette vallée à nous arrêter, à rouler au ralenti afin de profiter de ces spectacles dont nous sommes les spectateurs privilégiés (à moins que le froid et la pluie n’aient repoussés les touristes). Ce ne sont pas nos amis moutons qui nous contredirons.
Cette sensation d’être seuls au monde est tout simplement magique. Nous roulons sur ce bandeau de bitume d’une qualité exceptionnelle. Il semblerait qu’il soit déployé pour nous afin de nous emmener sur les meilleurs spots.
Depuis quelques kilomètres, nous apercevons une brume épaisse devant nous si bien qu’arriva ce qui devait arriver. La transition fut assez brève, cette brume jusqu’à maintenant très discrète, photogénique laissa place à un brouillard assez épais qui failli nous faire manquer le point de vue d’Utsikten.
Evidemment, la déception est présente. J’essaie de me remémorer ces images mainte et mainte fois regardées pendant ces longs moins d’attente et de préparatifs.
J’immortalise ce moment puis au moment de repartir je me rends compte que mon téléphone ne charge plus, que je n’ai plus de batterie donc plus de GPS… Un power bank viendra à mon secours. Le taux d’hygrométrie étant trop élevé pour se lancer dans un quelconque diagnostic électrique. De toute façon, je n’ai pas envie de défaire tout l’arrimage des bagages posés sur la selle passager.
Qui de Balder Dieu de l'Amour et de la Lumière, Sol Dieu du Soleil ou les Nornes Déesses Nordique du Destin mais je me décide à retourner sur une des cornes de la plateforme avant d’enfourcher la blessée. Bien m’en a pris, ces quelques minutes à triturer les différentes prises à débrancher puis rebrancher chaque équipement en charge dans la sacoche de réservoir, ont été bénéfiques car la vue s‘est quelque peu dégagée.
Quelques clichés plus tard, nous jugerons que nous ne pourrons avoir mieux aujourd’hui et qu’il nous faut avancer. La journée n’étant pas terminée, il n’est que 9h30.
Les lacets délicatement avalés afin d’éviter toute fausse route, nous nous dirigeons vers l’embarcadère duquel nous embarquerons sur un ferry électrique.
Roues à terre, nous reprenons la route direction la célèbre Stavkirke de Borgund. La pluie, encore elle, toujours elle, nous y accompagnera. Il est 13h30, nous arrivons sans avoir pu nous arrêter pour manger, faute d’accalmie. Est ce encore un stratagème, une épreuve des dieux Vikings? La pluie nous laissera tranquilles le temps nous remplir la panse, de faire quelques images au drone.
Nous n’avons pas visité l’intérieur de l’église en bois debout car un bus complet de touriste s’y est enfourné. Ce qui est assez dingue, est de se dire que la construction fièrement dressée devant nous est composée de bois datant de 1200.
Il est plus de 15h00, nous reprenons la route pour deux heures de roulage en grande partie sous la pluie.
Nous arrivons sur les hauteurs du fjord d’Aurland, magnifique! La pluie nous empêchera de profiter pleinement de ce spectacle mais je ne peux que le conseiller. Ce fjord est, à mes yeux, plus joli que le Geiranger.
Plus tard, un spectacle inattendu nous surprendra. Un son (celui de nos échappements) et lumière nous sera offert dans des tunnels.
Autre curiosité pour finir cette journée, un rond point dans le dernier tunnel… J’en suis tellement étonné que je ne prendrais pas la bonne sortie et devront faire demi tour pour reprofiter du spectacle.
Amis fadas, nous avons jusqu’à présent évité autant que possible les longs tunnels pour emprunter les jolies routes historiques mais je peux vous affirmer que lorsque vous êtes fatigués de vous faire rincer par d’incessantes pluies vous apprécierez ces trêves.
Si vous êtes claustrophobes, ne venez pas en Norvège. J’estime à environ 500 km la longueur cumulée des tunnels empruntés. Vous traverserez peut être une dizaine de ces ouvrages par jour. Une longueur de 7 kilomètres est assez classique.
Nous finirons la journée dans un petit camping au confort minium mais dans un superbe environnement tel que recherché.
La moto déchargée, le chaos installé, je change le fusible qui a lâché et retrouve enfin l’usage de la prise 12V. Le pneu arrière semble tenir le coup, je sais maintenant que nous n’aurons pas à le changer avant notre retour.
Malgré cette journée éprouvante, c’est l’esprit léger que nous passerons la nuit, bercés par les bruits d’eau (comme souvent dans ce road trip).
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Réveil 6h30, mais ça vous le savez déjà, p’tit dej copieux, ménage, chargement des montures et top départ pour cette nouvelle journée. Très rapidement, nous nous trouvons, seuls, dans une vallée magnifique, des rapides à notre droite, des lacs, de la brume.
Bref, cocktail idéal pour des fractures de rétines. Nous passerons pas mal de temps dans cette vallée à nous arrêter, à rouler au ralenti afin de profiter de ces spectacles dont nous sommes les spectateurs privilégiés (à moins que le froid et la pluie n’aient repoussés les touristes). Ce ne sont pas nos amis moutons qui nous contredirons.
Cette sensation d’être seuls au monde est tout simplement magique. Nous roulons sur ce bandeau de bitume d’une qualité exceptionnelle. Il semblerait qu’il soit déployé pour nous afin de nous emmener sur les meilleurs spots.
Depuis quelques kilomètres, nous apercevons une brume épaisse devant nous si bien qu’arriva ce qui devait arriver. La transition fut assez brève, cette brume jusqu’à maintenant très discrète, photogénique laissa place à un brouillard assez épais qui failli nous faire manquer le point de vue d’Utsikten.
Evidemment, la déception est présente. J’essaie de me remémorer ces images mainte et mainte fois regardées pendant ces longs moins d’attente et de préparatifs.
J’immortalise ce moment puis au moment de repartir je me rends compte que mon téléphone ne charge plus, que je n’ai plus de batterie donc plus de GPS… Un power bank viendra à mon secours. Le taux d’hygrométrie étant trop élevé pour se lancer dans un quelconque diagnostic électrique. De toute façon, je n’ai pas envie de défaire tout l’arrimage des bagages posés sur la selle passager.
Qui de Balder Dieu de l'Amour et de la Lumière, Sol Dieu du Soleil ou les Nornes Déesses Nordique du Destin mais je me décide à retourner sur une des cornes de la plateforme avant d’enfourcher la blessée. Bien m’en a pris, ces quelques minutes à triturer les différentes prises à débrancher puis rebrancher chaque équipement en charge dans la sacoche de réservoir, ont été bénéfiques car la vue s‘est quelque peu dégagée.
Quelques clichés plus tard, nous jugerons que nous ne pourrons avoir mieux aujourd’hui et qu’il nous faut avancer. La journée n’étant pas terminée, il n’est que 9h30.
Les lacets délicatement avalés afin d’éviter toute fausse route, nous nous dirigeons vers l’embarcadère duquel nous embarquerons sur un ferry électrique.
Roues à terre, nous reprenons la route direction la célèbre Stavkirke de Borgund. La pluie, encore elle, toujours elle, nous y accompagnera. Il est 13h30, nous arrivons sans avoir pu nous arrêter pour manger, faute d’accalmie. Est ce encore un stratagème, une épreuve des dieux Vikings? La pluie nous laissera tranquilles le temps nous remplir la panse, de faire quelques images au drone.
Nous n’avons pas visité l’intérieur de l’église en bois debout car un bus complet de touriste s’y est enfourné. Ce qui est assez dingue, est de se dire que la construction fièrement dressée devant nous est composée de bois datant de 1200.
Il est plus de 15h00, nous reprenons la route pour deux heures de roulage en grande partie sous la pluie.
Nous arrivons sur les hauteurs du fjord d’Aurland, magnifique! La pluie nous empêchera de profiter pleinement de ce spectacle mais je ne peux que le conseiller. Ce fjord est, à mes yeux, plus joli que le Geiranger.
Plus tard, un spectacle inattendu nous surprendra. Un son (celui de nos échappements) et lumière nous sera offert dans des tunnels.
Autre curiosité pour finir cette journée, un rond point dans le dernier tunnel… J’en suis tellement étonné que je ne prendrais pas la bonne sortie et devront faire demi tour pour reprofiter du spectacle.
Amis fadas, nous avons jusqu’à présent évité autant que possible les longs tunnels pour emprunter les jolies routes historiques mais je peux vous affirmer que lorsque vous êtes fatigués de vous faire rincer par d’incessantes pluies vous apprécierez ces trêves.
Si vous êtes claustrophobes, ne venez pas en Norvège. J’estime à environ 500 km la longueur cumulée des tunnels empruntés. Vous traverserez peut être une dizaine de ces ouvrages par jour. Une longueur de 7 kilomètres est assez classique.
Nous finirons la journée dans un petit camping au confort minium mais dans un superbe environnement tel que recherché.
La moto déchargée, le chaos installé, je change le fusible qui a lâché et retrouve enfin l’usage de la prise 12V. Le pneu arrière semble tenir le coup, je sais maintenant que nous n’aurons pas à le changer avant notre retour.
Malgré cette journée éprouvante, c’est l’esprit léger que nous passerons la nuit, bercés par les bruits d’eau (comme souvent dans ce road trip).
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Re: Au nord, un peu plus au nord
Salut les « Roadrunners !….Quelle fabuleuse série que ce RT extraordinaire. Dès que paraît un nouveau numéro, je stoppe tout ( euh, après la journée de taf hein.. 
Mais quel voyage ! Tes photos sont de véritables portes ouvertes vers un univers comme on en rêve parfois. Tes impressions viennent en enrichir et ponctuer cette suite d’endroits plus fascinants les uns que les autres.
Donc je me répète, bêtement avec ce petit mot bien incapable de traduire tout mon ressenti à la lecture de vos aventures : Merci
Comme tu le fais si bien remarquer avec la comparaison entre le Fjord Geirander et « l’autre » ; à suivre, il est quelquefois plus intéressant de fuir les lieux « évidents » pour s’apercevoir que « l’autre » n’a rien à envier au « premier ».
Cette petite église « Multi »….séculaire est posée comme un joyau dans son écrin de verdure et ça rend tout d’un coup « bien modeste ». Ce n’est pas un « pays » qui appartient à l’Homme, mais bien le contraire.
Formidable lieu, mais dans ton RT, ne le sont-ils pas tous ?
Merci pour ce nouvel opus recelant encore bien des « merveilles »
Mais quel voyage ! Tes photos sont de véritables portes ouvertes vers un univers comme on en rêve parfois. Tes impressions viennent en enrichir et ponctuer cette suite d’endroits plus fascinants les uns que les autres.
Donc je me répète, bêtement avec ce petit mot bien incapable de traduire tout mon ressenti à la lecture de vos aventures : Merci
Comme tu le fais si bien remarquer avec la comparaison entre le Fjord Geirander et « l’autre » ; à suivre, il est quelquefois plus intéressant de fuir les lieux « évidents » pour s’apercevoir que « l’autre » n’a rien à envier au « premier ».
Cette petite église « Multi »….séculaire est posée comme un joyau dans son écrin de verdure et ça rend tout d’un coup « bien modeste ». Ce n’est pas un « pays » qui appartient à l’Homme, mais bien le contraire.
Formidable lieu, mais dans ton RT, ne le sont-ils pas tous ?
Merci pour ce nouvel opus recelant encore bien des « merveilles »
Sic Parvis Magna.... Les grandes choses ont de petits commencements.
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Re: Au nord, un peu plus au nord
Vraiment splendide merci pour ces belles photos.
L’usure du pneu est plutôt plat, il y a finalement plus de droite que de courbes ?
Et ton équipement pluie, c’est quoi ? Satisfait, amélioration à envisager ?
Dis nous en plus
Merci d’avance
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L’usure du pneu est plutôt plat, il y a finalement plus de droite que de courbes ?
Et ton équipement pluie, c’est quoi ? Satisfait, amélioration à envisager ?
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Grand merci pour les photos et le temps d'écriture consacré.
Chaque épisode incite au suivant !
C'est peu de le dire, ton exemple est parlant et il faut donc s'y préparer, tout comme pour les autres désagréments déjà narrés dans tes précédents épisodes.
![:]](./images/smilies/8.gif "Dan.San")
Tu m'étonnes !
Re: Au nord, un peu plus au nord
Grand merci pour les photos et le temps d'écriture consacré.
Chaque épisode incite au suivant !
papagayo58 a écrit : ↑05 août 2023 10:59Évidemment, la déception est présente. J’essaie de me remémorer ces images mainte et mainte fois regardées pendant ces longs moins d’attente et de préparatifs.
C'est peu de le dire, ton exemple est parlant et il faut donc s'y préparer, tout comme pour les autres désagréments déjà narrés dans tes précédents épisodes.
papagayo58 a écrit : ↑05 août 2023 10:59Amis fadas, nous avons jusqu’à présent évité autant que possible les longs tunnels pour emprunter les jolies routes historiques mais je peux vous affirmer que lorsque vous êtes fatigués de vous faire rincer par d’incessantes pluies vous apprécierez ces trêves.
Tu m'étonnes !
Lee Diot existe, je l'ai rencontré.
C'est un insulaire...
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Concernant l'équipement de pluie, nous n'avions pas de combinaison. nous sommes équipés en Dainese, doublés de Goretex qui ont fait le taf. Les faiblesses ont été au niveau des avant bras et au niveau de la ceinture pour moi. L'eau s'infiltrait par les manches bien que mes gants les recouvraient...
Effet de l'air? J'étais équipé de gants pourtant doublés de Goretex mais ils ont finis trempés. J'ai bien envie de passer à la game supérieure chez Klim dont j'ai déjà les bottes, qui m'ont apportées entière satisfaction. Aucune infiltration, les pieds toujours au chaud grâce à des chaussettes en laine mérinos de chez décathlon. 
Le seul reproche de ces bottes? Leur épaisseur trop importante obligeant à remonter de façon importante le sélecteur. Mon pantalon, de marque différente était peut être la raison des infiltrations. Il faudrait que j'investisse chez Ducati...
Re: Au nord, un peu plus au nord
Depuis Dijon jusqu'à Norkapp, il n' a pas eu beaucoup de virages ce qui explique le côté plat du pneu. Ne roulant pas vite, les quelques virages suivants ne suffirons pas à prendre suffisamment d'angle pour rectifier ce plat.scharrach a écrit : ↑05 août 2023 15:09Vraiment splendide merci pour ces belles photos.
L’usure du pneu est plutôt plat, il y a finalement plus de droite que de courbes ?
Et ton équipement pluie, c’est quoi ? Satisfait, amélioration à envisager ?
Dis nous en plus
Merci d’avance
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Concernant l'équipement de pluie, nous n'avions pas de combinaison. nous sommes équipés en Dainese, doublés de Goretex qui ont fait le taf. Les faiblesses ont été au niveau des avant bras et au niveau de la ceinture pour moi. L'eau s'infiltrait par les manches bien que mes gants les recouvraient...
Effet de l'air? J'étais équipé de gants pourtant doublés de Goretex mais ils ont finis trempés. J'ai bien envie de passer à la game supérieure chez Klim dont j'ai déjà les bottes, qui m'ont apportées entière satisfaction. Aucune infiltration, les pieds toujours au chaud grâce à des chaussettes en laine mérinos de chez décathlon. Le seul reproche de ces bottes? Leur épaisseur trop importante obligeant à remonter de façon importante le sélecteur. Mon pantalon, de marque différente était peut être la raison des infiltrations. Il faudrait que j'investisse chez Ducati...-
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Une précision : quand il pleut, il faut que tes manches recouvrent tes gants sous peine de te retrouver les mains trempées ; et je peux t'affirmer que c'est redoutable d'efficacité
Pour les bottes, il est important de tenir compte de la finesse du bout de la botte pour faciliter l'utilisation du sélecteur ; sur la Rally (je ne sais pas sur les autres V4), il y a 2 positions pour le sélecteur : chaussures ou bottes.
Quant à la tenue Ducati goretex, il faut savoir que c'est une 3 couches, donc beaucoup moins pratique qu'une 2 couches laminées, comme propose Klim, Rukka, et d'autres ...
Certes avec une 3 couches tu vas rester au sec, mais la 1ère couche de ta veste va s'imbiber d'eau, va peser quelques kilos de plus, et surtout mettre beaucoup de temps à sécher. A contrario, une 2 ou 3 couches laminées empêchera le tissus de ta veste de se gorger d'eau, et sèchera donc beaucoup plus rapidement.
Re: Au nord, un peu plus au nord
papagayo58 a écrit : ↑05 août 2023 21:23Depuis Dijon jusqu'à Norkapp, il n' a pas eu beaucoup de virages ce qui explique le côté plat du pneu. Ne roulant pas vite, les quelques virages suivants ne suffirons pas à prendre suffisamment d'angle pour rectifier ce plat.
Concernant l'équipement de pluie, nous n'avions pas de combinaison. nous sommes équipés en Dainese, doublés de Goretex qui ont fait le taf. Les faiblesses ont été au niveau des avant bras et au niveau de la ceinture pour moi. L'eau s'infiltrait par les manches bien que mes gants les recouvraient...
Une précision : quand il pleut, il faut que tes manches recouvrent tes gants sous peine de te retrouver les mains trempées ; et je peux t'affirmer que c'est redoutable d'efficacité
Pour les bottes, il est important de tenir compte de la finesse du bout de la botte pour faciliter l'utilisation du sélecteur ; sur la Rally (je ne sais pas sur les autres V4), il y a 2 positions pour le sélecteur : chaussures ou bottes.
Quant à la tenue Ducati goretex, il faut savoir que c'est une 3 couches, donc beaucoup moins pratique qu'une 2 couches laminées, comme propose Klim, Rukka, et d'autres ...
Certes avec une 3 couches tu vas rester au sec, mais la 1ère couche de ta veste va s'imbiber d'eau, va peser quelques kilos de plus, et surtout mettre beaucoup de temps à sécher. A contrario, une 2 ou 3 couches laminées empêchera le tissus de ta veste de se gorger d'eau, et sèchera donc beaucoup plus rapidement.
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Ah si un peu quand même 
Faut il des gants à manchettes courtes alors?
Nous n'avons pas ces réglages rapides sur les autres V4 et j'avoue que ça me serait bien utile.
J'ai bien regardé chez Klim pour le blouson mais les coloris actuels ne me convenaient pas. Pas assez de rouge à mon gout.
Toujours est il que le blouson tri couches sèche rapidement en roulant. Il n'y a que une journée, dans des conditions extrêmes où j'ai eu de l'eau qui a coulé de mes manches pendant une dizaines de secondes. Ce jour là, moral sans les chaussettes.
Re: Au nord, un peu plus au nord
Je suis prêt à essayer les manches sur les gants, le problème est que je ne suis pas prêt de rouler à nouveau sous la pluie... Je ne suis pas fadaJeanFi a écrit : ↑05 août 2023 23:50
Une précision : quand il pleut, il faut que tes manches recouvrent tes gants sous peine de te retrouver les mains trempées ; et je peux t'affirmer que c'est redoutable d'efficacité
Pour les bottes, il est important de tenir compte de la finesse du bout de la botte pour faciliter l'utilisation du sélecteur ; sur la Rally (je ne sais pas sur les autres V4), il y a 2 positions pour le sélecteur : chaussures ou bottes.
Quant à la tenue Ducati goretex, il faut savoir que c'est une 3 couches, donc beaucoup moins pratique qu'une 2 couches laminées, comme propose Klim, Rukka, et d'autres ...
Certes avec une 3 couches tu vas rester au sec, mais la 1ère couche de ta veste va s'imbiber d'eau, va peser quelques kilos de plus, et surtout mettre beaucoup de temps à sécher. A contrario, une 2 ou 3 couches laminées empêchera le tissus de ta veste de se gorger d'eau, et sèchera donc beaucoup plus rapidement.
Ah si un peu quand même Faut il des gants à manchettes courtes alors?Nous n'avons pas ces réglages rapides sur les autres V4 et j'avoue que ça me serait bien utile.
J'ai bien regardé chez Klim pour le blouson mais les coloris actuels ne me convenaient pas. Pas assez de rouge à mon gout.
Toujours est il que le blouson tri couches sèche rapidement en roulant. Il n'y a que une journée, dans des conditions extrêmes où j'ai eu de l'eau qui a coulé de mes manches pendant une dizaines de secondes. Ce jour là, moral sans les chaussettes.